À propos du livre : 2010 / Après les pertes catastrophiques de 1941, lorsque l'Armée rouge a perdu son ancienne supériorité en matière de véhicules blindés , le commandement de l'Armée rouge a dû miser sur la cavalerie, multipliant par sept le nombre de divisions de cavalerie. Mais, quels que soient les mensonges de la propagande antisoviétique, la cavalerie rouge n'a jamais lancé d'attaques suicidaires contre des chars avec des sabres tirés - le corps de cavalerie de la Grande Guerre patriotique disposait d'armes lourdes et d'une puissance de feu incomparable avec les armées de cavalerie de la guerre civile. Ainsi, l'auteur de ce livre était le commandant d'une batterie de mortiers du 37e régiment cosaque de la garde du Don, qui a combattu sur des milliers de kilomètres du Caucase aux Alpes autrichiennes. Ces mémoires réfutent complètement la croyance populaire selon laquelle la cavalerie était censée être « désespérément dépassée » avant même le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, rendant hommage aux cosaques soviétiques qui abreuvaient les chevaux de l'Oder, du Danube, de la Spree et de l'Elbe..